Actualités

« Docteur Jekyll et Mister Hyde » d’Eric D

Celui qui nous a fait le plus peur car pendant que nous suivions le « live », les heures défilées devant notre écran

Cette fois ci je ne serai pas le dernier!!!
 
Pour résumé la course, ce fut comme le docteur Jekyll et mister Hyde…
Je commence par mister Hyde. Avec mes 4 compagnons de chambrée nous sommes partis pour prendre la navette jusqu’à Saint-Etienne. Hélas, il y a eu une panne de tramway et nous étions à 15 minutes de la dernière navette. Nous avons été obligé de prendre le métro, de changer de ligne tout en courant dans les couloirs. Nous sommes quand même parvenus à temps. Le voyage s’est bien déroulé et l’attente dans le gymnase aussi.
A 23h30 nous sommes sortis pour prendre le départ. Sans le savoir nous étions dans la vague 6 (la dernière) et nous avons attendu 01h00 sous une température de -1 (mes jambes étaient tétanisées). Pour moi, ce fût le début d’une très longue nuit…
A partir du 16ème kilomètre j’ai ressenti des crampes au mollet droit puis au mollet gauche. C’est le moment où j’ai laissé filer mes camarades (avec pour seule maxime: « je vous reverrai sur la ligne d’arrivée quoi qu’il arrive)… J’ai géré au mieux les crampes en marchant (beaucoup) et en trottinant. Heureusement il y a eu le ravitaillement pour me ressourcer.
Hélas 3 km après le ravito, le tuyau de mon camelback a gelé. J’ai couru et marché pendant 12 km sans boisson avec une température avoisinant les -10 degrés et sous la neige.
Je n’avais pas encore atteint le plus dur. Au 38ème km arriva une belle et grande descente jusqu’au ravito du 41 km. Les crampes étaient toujours plus fortes et la descente fût un enfer pour moi. Le sol était verglacé et les chutes des coureurs furent nombreuses. Pour ma part, trois, avec des bobos aux fesses, au poignet gauche et une magnifique crampe sur toute la jambe droite. Résultat: j’ai mis presque 50 minutes pour descendre. A j’ai oublié… ma lampe frontale s’est arrêtée au milieu de la descente!!!! La totale.
Quand je suis arrivé au ravito, il y avait 3 cars pour les coureurs qui abandonnaient. Je suis resté 10 minutes à les regarder. mais j’ai décidé de continuer. Avec le jour qui arrive je me refait un peu la cerise et j’arrive au ravito du 52 km avec le moral.
Mais quand je repars, les jambes ne répondent plus, les crampes sont persistantes… Je décide de marcher et cela sera jusqu’au bout… 22 km avec comme plat de résistance une montée à 18% à 7km de l’arrivée et 200 marches à descendre à 2km de l’arrivée.
Maintenant le côté docteur Jekyll. La franche rigolade avec mes amis de courir à Mennecy (ah les blagues carambar de Katia… magnifique). La traversée de beaux paysages. Des bénévoles au petit soins lors des ravitaillements. Mais surtout des rencontres humaines. Car pendant mon périple, il y a un coureur qui s »est arrêté pour stopper mes crampes dans la fameuse descente. Il est resté avec mois 15 minutes et il m’a donné son bidon d’eau.
Le plus important, fût ma rencontre avec Nicolas, un gars d’Aix en Provence, que j’ai croisé au 53ème km et qui était cramé comme moi, même plus. Nous avons fait la fin de la course ensemble en se motivant tout le temps. Il a fini avec des bâtons pour le soutenir, mais il est arrivé au bout. Nous avons franchi la ligne d’arrivée ensemble et nous nous sommes enlacés. Nous étions arrivés dans les délais. C’était une vraie victoire.
Enfin un énorme merci à Sylvie et Malik pour être venu à ma rencontre à 7km de l’arrivée. Cela fait un énorme bien de voir des amis et de pouvoir penser à autre chose que nos douleurs.
Maintenant que la course est terminée, je suis heureux de l’avoir fait. Tout cela c’est grâce à courir à Mennecy qui m’a permis de me dépasser toujours plus.
Mais le plus important que je retiendrai de cette course, c’est l’humain. Il ne faut pas l’oublier. C’est quand nous sommes dans le dur que la course prend son plus bel éclat.
Eric D

La folle nuit de 8 bargeots « Courir à Mennecy »

Le mythique raid nocturne entre Saint-Étienne et Lyon, doyenne des courses d’ultra est devenu un véritable phénomène et la plus grande course nature de l’hexagone en terme de participants. Courir la nuit, au cœur d’un immense ballet de frontales sur les crêtes des monts du Lyonnais est toujours, quelles que soient les conditions météo, synonyme de magie. Y participer un jour fait partie des grandes étapes qui jalonnent le parcours d’un coureur à pied.

file:///C:/Users/Maison/Downloads/telechargez-le-supplement-en-cliquant-ici.pdf

Pendant la nuit du 2 au 3 décembre pendant que nous étions bien au chaud dans les bras de Morphée, 8 courageux, euh pardon!!! 1 courageuse accompagnée de 7 bargeots, ont bravé le froid, le verglas, la neige. Une nuit « blanche » dans tous les sens du terme.

Je vous laisse découvrir au fil de leur récit leur propre expérience, car 5 lignes n’auraient pas suffi pour décrire ce qu’ils ont vécu.  Remercions également les accompagnatrice(eur)s qui les ont portés jusqu’au bout de cette folle aventure.                      ”Courir la nuit, ça n’a rien à voir »

La chouette et le hibou 25/11/17

C’était très chouette 😜une belle brochette de Menneçois au départ et tous avec le sourire 

Merci à tous les bénévoles, on s’est régalé sur le parcours. Des côtes encore des côtes jusqu’au bout de la nuit. Et merci la gamelle de vin chaud et la gentille dame qui m’a réchauffé le corps mais aussi les mains (gelées) 😭malgré la double paire de gants.

La Bretagne un 15 octobre

Et comme il fait toujours beau en Bretagne, on en a eu la preuve avec un bon bain dès le samedi histoire de vivifier les jambes avant de galoper autour de Vannes pour la 19ème édition du marathon. Délicieux  repas de crêpes le midi, un apéro « punch » le soir

Marathon en duo, sauf pour Thierry qui a assuré 2 relais. Feu d’artifice tiré des remparts, 1er départ pris par Christel Isabelle et Thierry qui l’a fait en mode cool , enfin jusqu’à ce qu’il rêve d’ huîtres. Une ambiance au top sur le parcours « As tu peur peur de la mort Jack Sparrow👿🐙 » au détour d’un virage une armée de pirates,  petit combat avec Jack et me voilà répartie. Qq km plus loin pause crêpes et cidre, nous avons longé la baie, magnifique sous le soleil. Un groupe de musiciens sur le port nous improvisons une gavotte de 🏃🏃, second groupe idem au son de l’accordéon. Au 17eme km, la chorale nous attendait. Quand tu n’as plus de souffle, le rock collection de Voulzy au micro chantait par Isabelle et Christel ça te chasse les nuages pour la journée 😄

19ème km passage du relais et c’est reparti avec Phuong Marc et Thierry.je  vole 😃

Le temps de reprendre notre souffle, les supportrices se posent au 34eme km pour les encouragements. Et voilà les 2 gars, où est passé Phuong?

Si rapide qu’on ne l’a pas vu passer au milieu des bateaux. Vite, rejoindre la ligne d’arrivée que l’on passe main dans la main. Un bel esprit d’équipe sans pression du chrono ni de la place.

une journée exceptionnelle sous le signe de la fête, du partage et de la convivialité. Un beau parcours sur les chemins côtiers. Merci

Une folle nuit de bargeots 27/10/17

Ce n’est pas encore Halloween, mais  😆

Ils sont 3 trailers fous (Katia œil de Lynx, Jocelyn monsieur 6000 lumens et Nicolas notre diététicien sportif) à suivre Thierry (Monsieur Boussole) dans une préparation de nuit pour cette course mythique la SaintetLyon.

L’objectif de cette préparation est d’enchaîner trail et vélo de nuit dans le but de nous mettre dans des conditions sportives proches de celles que nous allons vivre le 3 décembre sans pour cela laisser des meurtrissures musculaires irréparables. Lionel lui aussi affublé de son surnom de  kenyan blanc et moi-même avions déjà reconnu une partie du parcours de jour le weekend dernier.  Et bien heureux celui qui pense avoir les mêmes repères de jour que de nuit.  La nuit même avec nos frontales très puissantes, nous ne voyons pas à plus de 30 m, le relief et les courbes de dénivelé sont complètement aplatis.
Nous arrivons sur le parking du cul du chien avec un peu de retard, la température a chuté rapidement, 4 degrés d’écart entre Mennecy et Noisy sur école. Moi qui pensais qu’au sud la température était bien meilleure. La température baissera inexorablement pour atteindre 2 degrés.
Le ciel est limpide et laisse percer d’innombrables étoiles, la lune gibbeuse dépose sa faible luminosité sur le sol sablonneux mais ne parvient pas à transpercer totalement la canopée de cette belle forêt de fontainebleau.
Frontale à la tête, chaussures de trail aux pieds, gants et 2 à 3 couches de vêtements, nous voilà partis sur le chemin de denecourt (balisé bleu) des 3 pignons. 10 km de rochers, de sentier étroit, nous montons à pieds puis descendons en courant  lorsque cela est possible. Le sentier est haché de difficultés racines, sables et feuilles rendant le parcours quelque peu glissant.
Puis nous passons sous l’autoroute, tentons de reprendre un GR, les chemins que nous croisons ne sont pas répertoriés sur la carte, heureusement la boussole est toujours là pour nous donner le cap, nous atteignons le GR 1 qui nous fait traverser les gorges de Franchard. Je peux vous dire pour l’avoir parcouru de jour que ce sentier est magique. La nuit, nous nous retrouvons comme des aveugles, nous avons l’odeur des pins, des champignons, le chant des chouettes effraies et des hulottes pour égailler nos sens. D’ailleurs, Jocelyn avec son projecteur hors norme pointera une chouette effraie, d’un blanc pur, recroquevillée sur sa branche de pin. La malheureuse éblouie par le faisceau lumineux surpuissant  devra patienter quelques minutes avant de reprendre sa chasse nocturne.
Nous arrivons sur le parking de Franchard, 20 km au compteur, il est temps de faire demi-tour, nous voyons sur le sol des traces fraîches de sangliers et entendons quelques grommellements au loin qui apeurent Katia. Katia c’est notre œil de lynx qui déniche les balises là où votre œil est passé 3 fois sans remarquer le moindre petit trait bleu. Une vision nocturne inégalée.
Nous nous arrêtons souvent pour faire un point topo et prenons froid par la même occasion. Heureusement, Jocelyn est souvent devant pour nous éclairer de son phare, cela nous facilite grandement notre progression ou la recherche de balise. Nous prenons les chemins des barbiers puis cévisse (ces 2 chemins sont bien notés sur ma carte IGN  et maintenant dans ma mémoire), pour redescendre vers le tunnel passant sous l’autoroute. Quel bruit d’enfer dans la nuit ces voitures et camions. Nous qui entendions nos pas sur les chemins sablonneux et nos respirations, nous sommes confrontés au bruit de roulement sur l’asphalte.
3km après nous reprenons notre sérénité monastique, notre diététicien pioche un peu. ll faut dire que les chocapic et barre de céréale pour enfant, ne lui donnent pas tous les nutriments nécessaires pour courir longtemps et dans le froid.
Tout au long de notre escapade nocturne, j’ai pu filmer notre progression. Cela sera compilé avec les nombreuses sorties de préparation que nous avons pu réaliser auparavant avec Katia, Nicolas et Lionel.
Carte et boussole dans une main, caméra dans l’autre, nous avançons au gré des croisements, des choix de chemin à la boussole. Le nord rien que le nord pour orienter sa carte dans le bon sens. L’attention baisse après quelques heures de course nocturne,  le discernement et le choix des directions n’est plus aussi simple et facile. 

Après 5H30  de courses et 37 km parcourus, nous arrivons aux voitures à 2H15 du matin. Nous avons tous très faim et notre diététicien nous propose de tester sa nouvelle formule diététique bien connue des très grands sportifs « le camembert au chocapic ». Et là, nos cakes et gâteaux sportifs tant salés que sucrés ne peuvent rivaliser.
Nous reprenons nos vélos, le froid est intense,  nous ajoutons de nouvelles couches.  Les chemins sablonneux de fontainebleau rendent la progression extrêmement difficile, 10km/h de moyenne avec des efforts surhumains. Nous n’avançons pas assez vite. Lors d’un arrêt Jocelyn vide son estomac, heureusement il n’a pas testé le camembert mais il a pris froid en se changeant. Courageux, il remonte sur son vélo, il est mal, la nuit cache la blancheur de son visage.
Nous n’allons pas pouvoir continuer ainsi dans l’effort, je décide de bifurquer sur la route d’autant que le camembert ne donne pas plus de force à notre diététicien qui pioche de nouveau. Nous continuons sur les routes désertes et traversons des villages mornes sans vie. Nous nous arrêtons pour une collation à 20 km, le froid est vif, Jocelyn va un peu mieux mais ce n’est pas tout de même la grande forme. Notre diététicien pioche toujours et son vélo n’arrange rien, il ne peut que rester sur le petit plateau. 22 ans de bons et loyaux services auront eu raison de la manette du dérailleur. Le vélo ne peut pas être musical (couinement à chaque tour de pédalier) et opérationnel à 100 %. Il faut être indulgent avec les vieux machins !
Katia ne lâche rien, elle ne montre aucune faiblesse. Je peux vous dire qu’elle a monté, sans mettre pied à terre, toutes les côtes, mêmes sablonneuses. Une vrai warrior qui ne s’alimente pas non plus au camembert.
Lors des derniers kilomètres je me rends compte que je ne parle que de nourriture à Jocelyn qui n’a pas le goût à  s’alimenter (désolé Joce). La faim me tiraille et le froid nous empêche de nous arrêter pour une seconde collation. Nous arrivons au parking à 5H15 après avoir parcouru 30 km transis et une faim gargantuesque. Heureusement, nous avons le  camembert et après une course ça vous remets un homme sur pieds.
Après 8H45 d’efforts par une nuit à deux degrés, nous ne sommes pas mécontents de rentrer pour prendre une bonne douche et de s’allonger.
Un grand merci à mes coéquipiers (y compris Lionel qui m’a aidé sans le savoir à préparer ce parcours) qui sans eux cette sortie n’aurait pu avoir lieu. La forêt de nuit est un terrain de jeu magique mais reste tout de même dangereuse.
A bientôt pour de nouvelles sorties nocturnes THIERRY

magnifique récit qui donnerait à certains l’envie de vous suivre,  qui  nous a fait rire, du fond de notre canapé ce jour.  Finalement pas besoin de s’inscrire sur des courses car on peut vivre de belles émotions près de chez nous😂😛  Une mise en jambes un peu particulière avant le grand saut le 2 décembre. 

Merci Thierry !! Quel poète !! Tu as eu raison de mettre en lumière le vrai héros de la nuit: le camembert bio de Nico qui a embaumé ma voiture !!😂😜

Encore merci de  nous avoir guidé dans cette belle (mais fraîche) aventure … avant de vivre celle de saint Étienne !Katia 

Vous etes des grands malades !!!! Vous m avez fais rire et peur a la fois avec ce recit ! Je retourne a mon picon biere et me prepare pour ma sortie demain sur les falaises entre les 2 caps ! Bravo a vous …. Au fait nico oublie le camembert a lyon sinon je ramene le maroille. Lionel

Bravo à Thierry pour ce magnifique récit poétique …je sens que j’ai atterri dans un club d’intellos, cool !Sinon, c’est vraiment un truc de tarés votre entraînement. À propos de poésie, c’est vraiment une bonne chose que Jocelyn ait eu une frontale au top. Comme ça, il a bien pu distinguer dans son dégueuli précisément ce qu’il n’avait pas digéré ( la nutrition, c’est important pour une épreuve longue)😉Juan

Trail dans le Beaujolais vert 24/09/17

8 Menneçois en vadrouille dans le Beaujolais vert et ce n’était pas que pour le verre !!!!ça grimpe dur. 5 coureurs engagés sur le 31 km (4 novices sur la distance) avec mine de rien +1200 m de dénivelé. Les autres, plus sages, ont parcouru 12 km avec +400 m. Un chouette week-end ensoleillé, samedi matin une balade sur le Lac des Sapins, après-midi mise en jambes en vélo électrique. C’est génial, tu pédales, ça grimpe, et ça déroule tout seul, depuis hervé est adepte  😆

Une bonne nuit après un méga plat de lasagnes fait maison, merci Céline, une tarte aux mirabelles si bien rangées, nous voilà partis à l’assaut des monts du Beaujolais et pas d’assistance électrique mais un ravitaillement saucisson, fromage, tip top. Phuong/Isabelle côte à côte pour passer la ligne d’arrivée et aussi vite, demi-tour pour aller rechercher notre copine Guillemette . Et voilà déjà notre 1er menneçois qui franchit la ligne en 3H16. Bravo Hervé . Corinne franchit la ligne en 3h44 avec un podium pour ce 1er « grand trail » . Et nous sommes repartis rechercher tous les CAM pour les accompagner sur la ligne. Bel esprit d’équipe, de solidarité que l’on a retrouvé quand la souffrance du parcours nous tombe dans les mollets. 

Merci Arnaud pour le reportage photo sur le parcours, je rajoute que ça fait du bien de voir une tête connue tu en « chies ».

Mention spéciale à Guillemette et Estelle pour leur accueil qui a ensoleillé encore un peu plus notre week-end. On est revenu avec de belles images dans la tête. Merci l’AZVEL, on est venu, on a vu, on a vaincu et on reviendra.

La rentrée

 

 

 

1ère sortie en ce dimanche de rentrée . 7 coureurs pour une petite sortie tranquille qui finalement nous a conduit sur le tour des étangs de Vert le Petit. 14,5 km et il n’y avait pas trop de gadoue.

 

Si vous souhaitez nous rejoindre, n’hésitez pas à venir tester votre niveau de forme avec nous

  • mercredi renforcement musculaire dans le parc de Villeroy. RDV 18H45 à l’entrée du parc
  • dimanche sortie longue 12/15 km généralement RDV 9H30 au parc de Villeroy

Sortie dominicale

C’est les vacances mais on court toujours. C’est vrai que l’effectif diminue. Mercredi 6 hommes et moi, dimanche , 3 hommes et toujours moi. Heureusement j’ai trouvé quelques copines à mi-parcours, mais elles n’avançaient pas bien vite et un peu bavarde à mon goût, je les ai laissé sur place.

C’etait quand même chouette et merci les gars de m’avoir attendue.

Happy Days

Oh Happy days, Oh happy daysParfois il nous arrive de troquer nos tenues de course à pied pour un vrai moment de partage et d’amitié. Et ce jour là, tout juste si on se reconnaît. Ils étaient beaux nos coureurs dans leur tenue du dimanche.


Félicitations à Perrine et Damien. Tout plein de bonheur de la part de tous les coureurs.